PANAME

 

 

 

Doucement, je roule…Paname

Doucement, je roule… Paname

Doucement, je roule…Paname

Doucement, je roule… Paname

 

Le coude à la portière

Pars une nuit d’été étoilée

Je sens l’odeur de l’asphalte

Odeur de basalte brûlé

 

Doucement, je roule…Paname

Doucement, je roule…Paname

Doucement, je roule…Paname

Doucement, je roule…Paname

 

Dans tes rues je suis fier

Je suis le héros de tes soirées

Néons lumières tamisées

Je me faufile dans tes allées

 

De Pigalle aux Halles

De Strasbourg Saint Denis

A Rivoli

De Gambetta à l’Opéra

De Bercy aux Tuileries

Tout Concorde

 

Doucement, je roule…Paname

Doucement, je roule... Paname

Doucement, je roule…Paname

Doucement, je roule…Paname

 

Je descends plus de temps

La nuit est à nous

Paris tu m’attends

Ce soir tu me rends  fou

 

Paname, Paname, Paname

Paname, Paname, Paname

Paname, Paname, Paname…

 

 

Peter. Bervore      Texte écrit en 2009

 

PS: Un petit hommage à Edith

Paname
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